Les toiles de Raoul Dufy, un héritage commun
Raoul Dufy n’est peut-être pas l’artiste le plus connu du grand public. Pour autant, si on vous dit La Fée électricité ou encore les illustrations du Bestiaire de Guillaume Apollinaire, forcément des images se font jour. Il n’est peut-être pas la star de l’exposition À travers champs du musée Crozatier qui s’ouvre dans une semaine, mais il en est l’un des noms forts.
Des œuvres au Havre ou encore à Saint-Étienne
D’autant plus qu’une grande partie de ses œuvres a été léguée par son épouse, en 1962, aux musées de France. Originaire du Havre, il avait demandé à sa femme qu’on « n’oublie pas Le Havre » et comme promis, elle s’est souvenue. Ainsi, on peut y voir une grande partie de ses toiles. Toutefois, certaines de ses œuvres sont également visibles à Saint-Étienne, au musée d’Art moderne. C’est le cas du Temps des moissons.
Du fait qu’une grande partie de ces peintures a été versée au domaine public, les collectionneurs sont friands des huiles, aquarelles, lithographie, textiles… Ainsi certaines de ses toiles qui appartenaient à des privés ont atteint des montants records lors de leur vente : en 2020, La Foire aux oignons (1907) a été vendue 5 464 800 euros ; en 2023, La Baie de Sainte-Adresse (1906), collection Alain Delon, a été adjugée 1 016 400 euros
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