Après avoir été éliminées en huitièmes de finale de la Coupe de France sur le terrain du Puy-en-Velay, les Rémoises repassent en mode championnat avec un gros morceau en perspective. Elles affrontent l’Olympique Lyonnais, leader invaincu de D1 féminine, ce samedi 3 février dans le Rhône (14 h 30).
Le début d’année des joueuses du Stade de Reims a déjà offert son lot de contrastes. Quatrièmes de D1 féminine après avoir bouclé une phase aller historique en termes de points, elles occupent toujours ce rang au classement après s’être imposées sur le fil face à Guingamp lors de la dernière journée (1-0). Mais leur dernier rendez-vous a généré une sortie de route, une vraie, avec une élimination au stade des huitièmes de finale de la Coupe de France sur la pelouse du Puy-en-Velay, pensionnaire de D3 (1-1, 4-3 aux tirs au but).
« On a le droit à un joker par saison, on l’a pris contre le Puy. Les joueuses étaient très mécontentes de leur prestation. La piqûre de rappel, on l’avait déjà eu face au PSG (défaite 4-0, le 17 janvier), sur les attitudes, l’ADN qui n’était pas au rendez-vous. On est allé au fond du puits si je peux utiliser l’expression, avec un voyage, un retour et une défaite épiques », a notamment indiqué ce vendredi 2 février Amandine Miquel.
Mais la coach stadiste s’est aussi vite projetée sur ce qui attend sa troupe, à savoir un rendez-vous de gala sur le terrain de l’Olympique Lyonnais, leader invaincu, ce samedi 3 février (14 h 30). « Il fallait passer à autre chose. On ne sera pas les premiers à permettre à des équipes de réaliser des exploits en Coupe de France mais Le Puy a été récompensé de sa prestation, en prenant ce match très au sérieux. Elle a mérité sa qualification. »
De ce retour au championnat, qui va donc se faire en très haute altitude face à une formation lyonnaise qui était venue s’imposer à Delaune au match aller (1-5), Amandine Miquel en attend surtout une réaction de la part de ses joueuses. « Il va falloir que l’on montre un autre visage que contre le PSG, parce que je continue à dire que la force offensive de l’OL est quand même plus importante cette saison. À nous de nous remettre à l’endroit sur des principes de jeu simples, à savoir courir pendant 90 minutes et les onze en même temps dans le même sens, et on verra après pour le résultat et le score. »
Sans Massey, Gyau, Kack et Ngock face à l’OL
Un déplacement que les Rouge et Blanche ont entrepris sans leurs deux dernières recrues, la gardienne canadienne Kayza Massey et la latérale américaine Mia Gyau, en attente des documents nécessaires à leur qualification. Mathilde Kack, encore préservée après avoir déjà été ménagée en fin d’année 2023 pour des problèmes de genou, n’est pas non dans le groupe, tout comme la milieu de terrain Monique Ngock, touchée elle au ménisque.
Si pour cette dernière, une indisponibilité de plusieurs matches est à craindre, les trois autres devraient pouvoir postuler pour la réception de Montpellier, le vendredi 9 février à Delaune (21 heures).
La fonction de cc-portes-auvergne.fr étant de collecter sur le web des articles sur le sujet de Les portes de l’Auvergne puis les diffuser en répondant au mieux aux interrogations des personnes. L’équipe cc-portes-auvergne.fr vous soumet cet article qui parle du sujet « Les portes de l’Auvergne ». Cette chronique a été reproduite du mieux possible. Vous avez la possibilité d’écrire en utilisant les coordonnées fournies sur le site pour apporter des explications sur cet article qui traite du thème « Les portes de l’Auvergne ». En consultant régulièrement nos contenus de blog vous serez informé des futures parutions.